Dimanche 22 novembre
7
22
/11
/Nov
01:08
L'automne est de retour et, avec lui, mon envie de femmes.
Déjà trois ans ont passé depuis cette première et unique nuit avec Elle, la seule femme que j'avais jamais touchée, la seule que j'ai touchée depuis. Oui mon homme me donne un immense plaisir. Oui j'aime qu'il soit un homme, j'aime ses poils et son pénis qui me fouaille et ses grandes mains et son torse large et ses petites fesses.
Mais empoigner de grosses fesses, rudoyer un sein, lécher un téton, caresser un clitoris, pénétrer un vagin de mes doigts, enfouir ma langue dans les replis humides d'une vulve gonflée et brûlante de désir, boire de la cyprine... Faire l'amour à une femme... Est un désir inextinguible.
Depuis quelques jours je regarde uniquement les femmes dans la rue, et je me prends à rêver sur le décolleté de l'une, le fessier de l'autre, la taille si fine d'une troisième.
Ses seins sont-ils petits ? Dans le reflet d'un grand miroir, je me place derrière elle et dépose ses mandarines dans les coupes jumelles de mes mains tièdes.
S'ils sont imposants, j'y enfouis mon visage extatique et les tète avec avidité.
J'écarte les fesses de celle-ci et découvre un abricot fendu d'où perle un nectar que je recueille du bout de la langue.
J'imagine que cette autre, toute en courbes douces et généreuses, écartera des cuisses grasses, douces et blanches et accueillera ma main toute entière sous son mont de Vénus replet.
Dans les sourires qu'elles m'adressent au travail, je me plais à interpréter l'étincelle dans leurs yeux comme un consentement muet, un "tu me plais aussi", un "j'ai envie de toi".
J'ai revu ma banquière Maud. Elle n'a plus de bureau, elle travaille désormais au guichet. Dans mon esprit tordu, c'est parce qu'elle n'a pas su se montrer à la hauteur de sa mission. C'est parce qu'elle est un peu bête. Jolie et bête. Idéale à attacher, à humilier et à faire jouir dans la honte. Faire un peu pleurer ses jolis yeux perdus, faire beaucoup crier sa bouche en bonbon. Mordre son sexe pour mieux le lécher ensuite. Pincer fort ses tétons roses. Forcer sa rosace brune et l'orner d'un joyau tape-à-l'oeil qui lui donnerait un plaisir honteux. La rendre folle de moi et lui briser le coeur et les reins à grands coups de gode-ceinture. En baiser d'autres sous ses yeux impuissants et pleins de larmes, livrer son corps à d'autres et me repaître du spectacle de sa déchéance. La forcer à lécher le foutre chaud sur ma chatte, à sucer mon homme, à se faire sodomiser sans ménagements...
Oh Maud, tu ne sauras jamais comme tu m'excites et comme j'aimerais te baiser.
Déjà trois ans ont passé depuis cette première et unique nuit avec Elle, la seule femme que j'avais jamais touchée, la seule que j'ai touchée depuis. Oui mon homme me donne un immense plaisir. Oui j'aime qu'il soit un homme, j'aime ses poils et son pénis qui me fouaille et ses grandes mains et son torse large et ses petites fesses.
Mais empoigner de grosses fesses, rudoyer un sein, lécher un téton, caresser un clitoris, pénétrer un vagin de mes doigts, enfouir ma langue dans les replis humides d'une vulve gonflée et brûlante de désir, boire de la cyprine... Faire l'amour à une femme... Est un désir inextinguible.
Depuis quelques jours je regarde uniquement les femmes dans la rue, et je me prends à rêver sur le décolleté de l'une, le fessier de l'autre, la taille si fine d'une troisième.
Ses seins sont-ils petits ? Dans le reflet d'un grand miroir, je me place derrière elle et dépose ses mandarines dans les coupes jumelles de mes mains tièdes.
S'ils sont imposants, j'y enfouis mon visage extatique et les tète avec avidité.
J'écarte les fesses de celle-ci et découvre un abricot fendu d'où perle un nectar que je recueille du bout de la langue.
J'imagine que cette autre, toute en courbes douces et généreuses, écartera des cuisses grasses, douces et blanches et accueillera ma main toute entière sous son mont de Vénus replet.
Dans les sourires qu'elles m'adressent au travail, je me plais à interpréter l'étincelle dans leurs yeux comme un consentement muet, un "tu me plais aussi", un "j'ai envie de toi".
J'ai revu ma banquière Maud. Elle n'a plus de bureau, elle travaille désormais au guichet. Dans mon esprit tordu, c'est parce qu'elle n'a pas su se montrer à la hauteur de sa mission. C'est parce qu'elle est un peu bête. Jolie et bête. Idéale à attacher, à humilier et à faire jouir dans la honte. Faire un peu pleurer ses jolis yeux perdus, faire beaucoup crier sa bouche en bonbon. Mordre son sexe pour mieux le lécher ensuite. Pincer fort ses tétons roses. Forcer sa rosace brune et l'orner d'un joyau tape-à-l'oeil qui lui donnerait un plaisir honteux. La rendre folle de moi et lui briser le coeur et les reins à grands coups de gode-ceinture. En baiser d'autres sous ses yeux impuissants et pleins de larmes, livrer son corps à d'autres et me repaître du spectacle de sa déchéance. La forcer à lécher le foutre chaud sur ma chatte, à sucer mon homme, à se faire sodomiser sans ménagements...
Oh Maud, tu ne sauras jamais comme tu m'excites et comme j'aimerais te baiser.